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23 avril 2009

La mort de Nicolas Jacquet

En parcourant les archives nationales de la Drôme sur les registres de la Commune du Molard, j’ai trouvé cet acte de décès du jeune Jacquet Nicolas, mort des suites de ses blessures.

acte_de_d_c_s_1

Le décès le 24 avril 1814 d’un de nos concitoyens mort dans des circonstances que l’histoire lui a peut-être imposée, car à chaque guerre le soldat n’a pas toujours choisi de partir, a tout de suite attisé ma curiosité. Je me mis en quête de trouver des éclaircissements.

Etait-il un  « Marie Louise » ?
En 1813, l'armée napoléonienne est décimée par la retraite de Russie et la conscription touche désormais de jeunes adolescents de moins de vingt ans. On les appelle les Marie-Louise, car le décret est signé par l'impératrice Marie-Louise d'Autriche.

Il est né le 19 février 1791 … donc pas de doute, "engagé" le 20 mars 1813, à 22 ans il n’en est pas un. Comment se fait-il alors qu'il ne soit pas parti avant ?

"Du 1er septembre 1812 au 20 novembre 1813, 1 527 000 hommes avaient été appelés en quinze mois. Ces énormes levées s'appuyaient toujours sur le principe de la conscription, posé par la loi Jourdan-Delbrel. Napoléon, s'appliquant à rendre moins sensibles les sacrifices exigés de la population, recommanda d'achever d'abord la levée sur les trois dernières classes de 1813, 1812 et 1811, et de ne pas remonter plus haut pour le moment. Cette première levée devait procurer de 140000 à 150000 hommes. C'était seulement après l'avoir terminée qu'on aurait recours aux classes plus anciennes, en négligeant toujours les hommes mariés, ou peu aptes au service, ou indispensables à leurs familles. Par le même motif, il voulut qu'on s'adressât en premier lieu aux provinces, menacées d'invasion, comme les Landes, le Languedoc, la Franche-Comté, l'Alsace, la Lorraine, la Champagne, provinces où l'esprit était meilleur et le péril plus menaçant. Toujours par esprit de ménagement, Napoléon fit retarder la levée de 1815, qui ne pouvait fournir que des soldats beaucoup trop jeunes. Le 2 avril 1814, le gouvernement provisoire déclarait Napoléon Bonaparte déchu du trône."   http://www.napoleon.org/fr/salle_lecture/articles/files/conscription_le_Premier_Empire1.asp

suit « l’extrait  mortuaires » suivant

extrait_mortuaire_1

 

Il est fait mention du Régiment de Bourbon, sous Napoléon cela surprend un peu. Je vous fais grâce de tous ces régiments, il en existe 156 dans l’infanterie, conservons celui qui nous intéresse, le 9eme de ligne. 

 

Le Drapeau du 9eme Régiment de Bourbon :

Wagram      9_Ligne_1812

Je me suis mis à la recherche de la bataille à laquelle il avait pu participer.

 

 

Un peu d’histoire :

 

     Nous sommes en1814 : La France est envahie par les alliés, mais Napoléon arrive à les battre séparément dans les batailles de Champaubert, Montmirail, Vauchamps (10-15 février) et à Montereau (17-18 février).

  • 17 janvier : Défection de Murat.
  • 23 janvier : Régence confiée à l'Impératrice.
  • 29 janvier : Victoire française contre Blücher à la bataille de Brienne.
  • 1er février : Défaite française contre Schwarzenberg à la bataille de La Rothière
  • 4 février :    Congrès de Châtillon entre les coalisés.
  • 10 février : Victoire française contre Blücher à Champaubert.
  • 11-12 février :   Victoire de Napoléon Ier contre Blücher à la bataille de Montmirail.
  • 12 février : Victoire française contre Blücher à bataille de Château-Thierry.
  • 14 février : Victoire française contre Blücher à bataille de Vauchamps.
  • 17 février : Victoire française contre les Autrichiens à Mormant.
  • 18 février : Victoire française contre les Autrichiens à Montereau.
  • 27 février :
    • Victoire autrichienne       à la bataille de Bar-sur-Aube
    • Victoire de Wellington       au combat d'Orthez.
  • 1er mars :      Le pacte de Chaumont lie les coalisés entre eux jusqu’à la victoire finale.

 

 

 

         Notre concitoyen combat dans les rangs du 9eme Régiment d’Infanterie de Ligne, il est sous les ordres du Colonel Broussier.

 

C’est le Général Nicolas Schmitz qui est à la tête de ce régiment. Celui-ci s’est déjà illustré dans de nombreuses batailles.

 

- Le 06 septembre 1813 il a été blessé d’un coup de feu à la poitrine à la bataille de Feistritz sur la Drave
-
Le 8 Février 1814, Nicolas Schmitz a eu son cheval tué sous lui sous l’éclat d’un obus lors de la bataille de Mincio!

 


      
Le 2 Mars 1814, il est à Parme et entre le premier dans la ville lors de la prise de cette même ville à la tête du 9ème régiment d'infanterie de ligne qui a fait déposer les armes à un régiment autrichien.

             Mais, si vous aimez l’histoire et les récits guerriers, je vous propose de laisser le Général De VAUDONCOURT faire le récit des événements militaires qui entourent la prise de Parme, si non, allez directement au texte souligné.


« Le général Grenier, ayant employé les journées du 28 février et du 1er mars, à reconnaître les positions de l'ennemi, se disposa à l'attaquer. La disproportion des forces était grande , car derrière la division Nugent, qui était forte de plus de quinze mille hommes, se trouvaient les deux divisions Carascosa et d'Ambrogio, la garde napolitaine, et une forte division de cavalerie, c'est-à-dire, au moins vingt-cinq mille hommes.

Les troupes que le général Grenier avait avec lui, ne s'élevaient qu'à quinze ou seize mille hommes, en y comprenant le corps du général Severoli, et la division Gratien, toute composée de conscrits qui n'avaient pas vu le feu. Aussi ne fit-il donner, en première ligne, que les brigades qui venaient de l'armée du Mincio, c'est-à-dire environ dix mille hommes. Mais il n'y avait pas à balancer. Il était impossible de diminuer pendant plus de huit à dix jours, de trois brigades, l'armée du Mincio, à qui il ne restait plus que vingt mille combattants, à opposer à soixante mille ennemis. Déjà même le général Grenier, dont le mouvement avait été retardé par la crue des eaux, surtout au Taro, avait été forcé de perdre deux jours. D'un autre côté, il fallait absolument repousser l'armée napolitaine sur Modène et Bologne, et retarder le mouvement qu'elle avait commencé. Un avantage marqué, qu'on pouvait remporter sur elle, devait avoir pour résultat de la paralyser pendant quelque temps, et de rendre le roi de Naples plus prudent, dans les opérations qu'il voudrait entreprendre. Telles étaient, sans doute, les réflexions qui avaient déterminé le prince Eugène à la diversion qu'il faisait faire par le général Grenier. L'événement en a prouvé la justesse, puisque le résultat du combat de Parme a retardé, de six semaines, le mouvement du roi de Naples sur Plaisance. Le 2 mars, le général Grenier passa le Taro, sur trois colonnes. Le roi de Naples, inquiet de l'occupation de Guastalla, par le général Vilatta, mit aussitôt son armée en retraite. La division Nugent était à la queue de la colonne, et la brigade Stahremberg faisait l'arrière-garde. Cette brigade, vivement attaquée, fut renversée sur le restant de l'armée, et serrée de si près, que le général Stahremberg crut devoir prendre le parti de jeter dans Parme le régiment de l'archiduc François-Charles, pour arrêter nos troupes, et, en se dégageant des autres brigades de la division Nugent, donner le temps à celle-ci de gagner chemin. C'était une faute qu'il paya assez cher. Une position n'est bonne à défendre de front, que quand l'ennemi ne peut pas la tourner impunément, surtout si c'est une position fermée, qu'on ne puisse pas évacuer quand on veut. L'erreur que commit ici le général Stahremberg, ou le chef, quel qu'il soit, qui donna l'ordre d'occuper Parme, n'est que trop commune, et vient ordinairement de ce que l'on se trompe, sur la véritable application des principes de la guerre de positions. Ce n'est point seulement en choisissant des sites avantageux, où le corps qui les occupe puisse opposer une résistance durable, qu'on peut se flatter de faire la guerre de positions. Car les sites, qu'on appelle tactiquement positions, ne sont que des points de la ligne stratégique d'opérations. Or, si la ligne de mouvement de l'assaillant peut passer par un autre point, que celui qu'on a voulu défendre, ce dernier sera non seulement inutile, mais il sera dépassé latéralement et enlevé. C'est ce qui arriva au général Stahremberg.

Le général Grenier, ayant conçu la possibilité d'emporter la ville de Parme, sans arrêter la poursuite de l'ennemi, fit sur-le-champ ses dispositions. Il fit passer à droite de la ville la brigade Schmitz, qui devait attaquer la porte qui conduit à Fornovo et Pontremoli. La brigade d'Arnaud resta sur la route qui vient de Castel-Guelfo. Derrière elle étaient, à quelque distance, le corps de Severoh et la division Gratien, qui restèrent en réserve, et ne prirent point part au combat. La brigade Jeauin passa à gauche, pour attaquer la porte qui conduit à Colorno. La brigade de cavalerie de Rambourg devait tourner la ville, par le même côté, pour Cuivre le gros de l’armée austro-napolitaine. La brigade Jeanin, en dépassant la porte de Colorno, coupa une colonne autrichienne de neuf cents hommes, qui fut obligée de rebrousser chemin et de rentrer en ville, où elle mit bas les armes un peu plus tard. Dans le moment où le général Rambourg traversait le chemin de Colorno, il aperçut sur la route la colonne ennemie de Sacca, qui revenait à Parme. Le général Rambourg se porta au-devant d'elle et la fit charger par sa cavalerie. Une partie de la brigade Jeanin appuya cette charge. Elle fut brillante et heureuse; cinq cents prisonniers, deux canons et beaucoup de bagages tombèrent entre nos mains. La brigade Hambourg continua ensuite son mouvement vers l'Enza, et, chemin faisant, elle entama encore l'arrière - garde ennemie.

Cependant, le général Schmitz ayant emporté, après une assez faible résistance, la porte de Fornovo, dirigea une partie de sa brigade par le rempart, vers la porte de Modène, tandis que le reste pénétrait dans la ville. Les brigades Jeanin et d'Arnaud y étant entrées presque en même temps des deux autres côtés, tout ce qu'il y avait de troupes autrichiennes dans Parme fut tué ou pris. Le même soir, le général Grenier vint prendre position sur l'Enza ; l'armée austro-napolitaine s'était arrêtée à l'autre rive. La perte de l'ennemi, dans Parme , s'éleva à environ six cents morts et dix-sept cent dix-neuf prisonniers, dont trente-sept officiers ; deux canons avec leurs caissons, cinq voitures d'outils du génie , beaucoup de bagages et trois mille fusils. Le général Hambourg, avant d'arriver à l'Enza, fit encore environ cinq cents prisonniers, ce qui en porta le total à deux mille deux cents. Dans ce nombre étaient quatre-vingt-dix Napolitains, qui furent renvoyés désarmés au roi de Naples. Notre perte s'éleva à deux cent cinquante hommes hors de combat.

Il faut que le roi de Naples et le général Nugent aient cru que le corps qui les attaquait fût d'une force bien supérieure, à ce qu'il était réellement, puisqu'ils s'étaient préparés à une plus longue retraite. Le 3, le train d'artillerie et les équipages autrichiens et napolitains, qui avaient été à Modène, arrivèrent à Bologne, d'où les premiers continuèrent leur route vers Ferrare, sous l'escorte d'un fort détachement des hussards de Radetzky.

Le 3, la brigade Rambourg se porta sur Reggio; l'ennemi avait évacué cette place et s'était retiré derrière

la Secchia

, vers Modène, ne laissant pour couvrir sa retraite, qu'un escadron des hussards de Radetzky, devant Reggio. Cet escadron fut dispersé par notre cavalerie, qui lui fit quelques prisonniers. Le 4, le général Grenier envoya à Reggio le général Severoli, avec ses trois bataillons italiens, et quatre bataillons français de la brigade Soulier. Les sept autres bataillons de la division Gratien restèrent en position derrière l'Ënza, et le général Grenier, avec la division Rouyer et la brigade Jeanin, ayant pris la route de Guastalla, passa le Pô à Borgoforte, et rentra, le 6, à l'armée en position au Mincio.

Le général Severoli, ayant placé à Rubiera une avant-garde composée des deux escadrons du premier régiment de chasseurs à cheval italiens et de deux compagnies de voltigeurs, resta devant Reggio, avec son infanterie et la brigade Hambourg. L'avant-garde ennemie, composée des débris de la brigade Stahremberg, était en position à la droite de

la Secchia

, au delà de Rubiera. Le prince vice-roi, non content de la démonstration qu'il avait faite sur le flanc de l'armée austro-napolitaine, en occupant Guastalla, voulut menacer également les communications entre cette armée et celle du maréchal de Bellegarde. L'ennemi communiquait directement avec Modène par Ostiglia, où il y avait un pontr qui était couvert du côté de Mantoue, par des retranchements élevés vers Sustinente. En inquiétant le maréchal de Bellegarde sur ce point, dans le moment où il venait d'apprendre la défaite du général Nugent à Parme, et où il savait que le général Grenier était encore vers Reggio, le maréchal devait craindre un mouvement de flanc, sur Castellaro. Ce mouvement, qui aurait fortement compromis la division Mayer, aurait également pu attirer au général en chef autrichien un nouvel échec, puisque dans ce moment son armée était déployée sur le Mincio et à peu de distance de cette rivière. Le 5 au matin, le général Villata avec trois faibles bataillons du 2e. Léger italien, qui faisaient environ mille hommes, sortit de Governolo. Les avant-postes ennemis furent repoussés jusqu'à peu de distance d'Ostiglia , et les retranchemens de Sustinente furent détruits. L'ennemi perdit six hommes tués et cinquante-un prisonniers, dont un officier; les régimens qui étaient là étaient celui de Biauchi, et un croate de nouvelle formation. Nous eûmes onze blessés. Le résultat de cette reconnaissance fut d'obliger le maréchal de Bellegarde à concentrer ses troupes. Son quartier général, qu'il avait transporté à Villa - Franca, pendant que le roi de Naples marchait sur Parme, rentra de nouveau à Vérone : le gros de l'armée, qui avait dépassé Villa-Franca, se replia entre cet endroit et Vérone. Les ouvrages, que l'ennemi avait élevés à la tête du pont de Borghetto, furent abandonnés.

Le 7 mars, l'armée du Mincio occupa les positions suivantes. La division Fressinet était à Monzambano et à Borghetto ; la division Quesnel, depuis Montalto, près de Volta, jusque vis- à-vis de Pozzolo ; la division Marcognet, à Goito et Cerlongo; la division Rouyer, à Mantoue; la garde royale quitta Volta, et vint à Mantoue. La cavalerie resta en seconde ligne, vers Cereto et Foreste. Le major San-Fermo fut envoyé à Via- dana et Pomponesco , avec quelques détachemens d'infanterie, pour observer la rive du Pô, depuis Guastalla jusquà Casal - Maggiore et Sacca. Le quartier général fut établi à Mantoue.

Cependant le roi de Naples, ayant appris que le général Grenier avait repassé le Pô, et qu'il n'était resté devant lui que la division Gratien et le corps de Severoli, résolut de reprendre son mouvement sur Plaisance. Le 6 mars, il fit renforcer l'avant-garde du général Stahremberg, par un régiment d'infanterie et une division de cavalerie napolitaine. Cette avant-garde passa

la Secchia

dans l'après-midi ; la division Carascosa la suivait de près. L'avant-garde française, que le général Severoli avait fait la faute de placer aussi loin de lui, fut attaquée, et, malgré la résistance qu'elle essaya d'opposer, enfoncée et renversée sur Reggio. Le 1er régiment de chasseurs à cheval souffrit beaucoup, et une partie des voltigeurs .furent pris; notre perte s'éleva à une centaine d'hommes, sur trois cents qui avaient composé l'avant-garde. Les feuilles du temps disent que les Napolitains attaquèrent avec courage et avec les plus vives démonstrations de joie (Sans doute c'est parce qu'ils se trouvaient dix-huit mille, contre trois cents.)

Le 7, le roi de Naples continua son mouvement sur Reggio. Le général Severoli, ayant laissé dans la ville le général Soulier, avec ses quatre bataillons, se porta au-devant de l'ennemi avec les trois bataillons italiens et la brigade de Ram »

Comme en témoigne le comte d'Anthouard, lieutenant général, pair de France, grand-croix de l'ordre royal de la Légion d'honneur, président du Comité d'artillerie: M. le maréchal de camp Schmitz, officier de la Légion d'Honneur, chevalier de la Couronne de Fer, s'est fait constamment remarquer par son courage et son sang-froid pendant les campagnes de 1813-1814, à l'armée commandée par le prince vice-roi d'Italie, Eugène Napoléon.

Voilà avec qui et sous les ordres de quel homme combattait notre Jacquet.

 

La suite…


Nous sommes à la veille de la capitulation de napoléon

  • 6-7 mars : Victoire de Napoléon sur Blücher sur le plateau de Craonne.
  • 9 mars : Échec contre Blücher à Laon.
  • 12 mars : Wellington prend Bordeaux, appelé par son maire.
  • 20-21 mars : Échec français contre Schwartzenberg à Arcis sur Aube.
  • 21 mars : Les Autrichiens prennent Lyon.
  • 25 mars : Victoire des coalisés à la bataille de La Fère-Champenoise.
  • 30 mars : Paris capitule.
  • 31 mars : Entrée des Alliés à Paris

                 

Avril : Les maréchaux d’Empire refusent de continuer le combat..

  • 1er avril :  Un gouvernement provisoire composé de royalistes est composé. Talleyrand est reconnu par les assemblées chef d’un gouvernement provisoire
  • 3 avril :  Napoléon Ier est déchu par le Sénat conservateur.
  • 11 avril :  Abdication de Napoléon Ier

 

Dans quelles circonstances notre jeune héros a-t-il été blessé ?

Je voulais, inconsciemment mais à tout prix, qu’il le soit à la prise de Parme, peut-être parce qu’il s’agissait d’une victoire ; mais la bataille date du premier mars.

     A cette époque le transport des blessés se faisait dans des conditions déplorables. Je vous laisse imaginer, par comparaison aux archives de la guerre de 14-18, pourtant pas si éloignée que ça, comment et de la manière dont le problème était traité.

Est-ce que Nicolas, blessé le 2 mars, a été « trimballé » dans une charrette pendant presque 2 mois jusqu’à Alba, 220 km à vol d’oiseau ? J’en doute.

Non je pense qu’il a été blessé pendant l’une de ces multiples batailles d’arrière garde qu’a mené son régiment durant ces dernières semaines.

      Le 24 avrilpendant que Nicolas Jacquet rendait son dernier souffle, débarquait à Calais, Louis XVIII ;  Napoléon, quant à lui, traversait la Provence pour s’embarquait le 28 à Saint Raphaël pour  l'île d'Elbe sur une frégate anglaise The Undaunted.

 

 

 

 

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Commentaires
C
I’m impressed! It’s nice to see someone very passionate about what they do. Trust all your future posts turn out as well.Thanks!
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F
Le Général Nicolas Schmitz est mon arrière, arrière grand-père.Je lui ai dédié un site: http://www.schmitz.fr<br /> <br /> Auriez-vous le titre et l'année de parution du livre du Général de Vaudoncourt dont est extrait ce passage?<br /> <br /> Cordialement,<br /> <br /> FX Schmitz
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J
nicolas est un de mes ancetres et je vous remercie de toute ces recherches<br /> gilbert
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